Depuis près de 15 ans, le nom de Pierre-André Ayer rayonne sur la carte gastronomique de la Romandie. En 2002, après une décennie de règne sur « La Fleur de Lys », le cuisinier investit le « Pérolles » à Fribourg. Formé auprès de grands chefs, entre la France et la Suisse alémanique, notamment auprès du grand Stücki, à Bâle, il a été salué par les guides prestigieux. Le Michelin lui a accroché une étoile; le Gault Millau a poussé sa note d’un point pour la hisser à 16. Et, signe qui ne trompe pas, le guide a promu Pierre-André Ayer «Cuisinier romand de l’année 2004». Quand on sait que Gérard Rabaey, le trois-étoiles du Pont de Brent, a reçu le titre de «Cuisinier de l’année», la promotion de Pierrot Ayer prend toute sa valeur…