Après des études de lettres, Florence Marville s’exile au Japon où elle poursuit son cursus à l’Université de Keio, à Tokyo, puis devient traductrice pour le Comité d’organisation des Jeux olympiques de Nagano de 1995 à 1998. Elle regagne ensuite l’Europe, avant de repartir aux États-Unis où elle occupe pendant six ans un poste dans le domaine commercial pour une entreprise nippone.
Depuis quelques années, elle est revenue à ses premières amours littéraires et travaille désormais dans le milieu de la presse et de l’édition.
Après avoir été lauréate de concours de nouvelles en 2023 et 2024, elle se lance dans l’écriture d’un premier roman, en partie inspiré de son vécu et de celui de plusieurs femmes qu’elle a côtoyées au Japon.